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Legends of Kelt

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7 août 2013

Têtes de Monstre !!!

« Il est plus difficile qu’on ne pense de définir les monstres. » 

Voltaire, Dictionnaire phylosophique - 1764

 

Masques Blog2

 

Masques Blog5

LE MONSTRE

J’ai dessiné
Un monstre affreux
Avec des bosses
Avec des creux
Des racines
Des antennes
Des rustines
Des mitaines
Un oeil vert
Sans paupière
Et trois pieds
Sans souliers.

Quand il m’a regardé
J’ai voulu le gommer
Mais il s’est échappé !


Corinne ALBAUT

 

Masques Blog6

Masques Blog3

 

Monstres,

 

Il y a des monstres qui sont très bons,

Qui s'assoient contre vous les yeux clos de tendresse

Et sur votre poignet

 Posent leur patte velue

 

Un soir -

Où tout sera pourpre dans l'univers,

Où les roches reprendront leurs trajectoires de folles

Ils se réveilleront

 

Eugène GUILLEVIC

 

Masques Blog1

Masques Blog4

 

 "Quand on lutte contre des monstres,

il faut prendre garde de ne pas devenir monstre soi-même.

Si tu plonges longuement ton regard dans l’abîme,

l’abîme finit par ancrer son regard en toi."


Friedrich Nietzsche

 

Masques Blog0

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7 août 2013

Joutes Elarkiennes

   Le Royaume d'Elark se trouve au Nord-Ouest du Royaume de Kelt.

Lors des rencontres entre clan, il n'est pas rare d'assister à une étrange joute à main nue :

la Lutte élarkienne.




Lutte Blog6

 

Lutte Blog4

 

Lutte Blog5

 

Le principe est simple : "bien marquer l'adversaire à la culotte et le renverser !!!"

Là, le choix du "bon sous vètement" (notez qu'il  devient alors "survètement")

est primordial !!!

 

Lutte Blog1

 

 

Lutte Blog2

 

Mon conseil : choisissez une bonne culotte bien solide

 

Des joutes plus "classiques" sont également organisées.

Les archers en profitent pour tester la portée et la justesse de leurs traits.

 

 

Arc Blog4

  

Arc Blog3

 

Arc Blog2

 

Arc Blog1

 

 D'autres préfèrent les traditionnelles confrontations à l'arme blanche.

 

Joute Blog1

 

 Mais, comme d'habitude, ... tout le monde n'est pas là pour s'amuser !!!

 

 

Guerrier Blog1

 

6 août 2013

Prétresses de Kispitrya

"KISPITRYA est la  Déesse des Maladies, Maîtresse des Vents de Pestilence

et de la Putréfaction. "

 

 Kispitria Blog 11

 

"Son culte ne survit plus aujourd'hui qu'à travers d'anciennes légendes qu'on n'évoque pratiquement jamais. On ne sait si les adeptes du culte ont été massacrés par la population et les milices ou si c'est la Déesse qui les a fait périr en déclenchant des épidémies de peste et de choléra ... "

 

 

Kispitria Blog 6

 

 

Kispitria Blog 4

 

 "...Certaines rumeurs rapporteraient que le culte survivrait parmi certains groupes de lépreux ou autres malades infectieux. Adhérer à ce culte revient à se condamner, car il est rare qu'un adepte ne soit pas rapidement affublé d'une maladie..."

 

 

Kispitria Blog 5

 

 

 

Kispitria Blog 31

 

 

" ... La Déesse était censée provoquer les famines et toutes les épidémies qui s'abattaient sur les populations. La survivance de ces phénomènes laisse penser que le culte serait toujours actif. ..."  

Chroniques de Kelt - Livre des règles Version 2008  .

 

Kispitria Blog 2

 

N.D.A. : Maquillages exécutés, de main de maitre, par Lucie.

4 août 2013

Le Satyre

Un satyre habitait l'Olympe, retiré 
Dans le grand bois sauvage au pied du mont sacré ;
Il vivait là, chassant, rêvant, parmi les branches ;
Nuit et jour, poursuivant les vagues formes blanches,
Il tenait à l'affût les douze ou quinze sens
Qu'un faune peut braquer sur les plaisirs passants.
Qu'était-ce que ce faune ? On l'ignorait ; et Flore
Ne le connaissait point, ni Vesper, ni l'Aurore
Qui sait tout, surprenant le regard du réveil.
On avait beau parler à l'églantier vermeil,
Interroger le nid, questionner le souffle,
Personne ne savait le nom de ce maroufle.
Les sorciers dénombraient presque tous les sylvains ;
Les aegipans étant fameux comme les vins,
En voyant la colline on nommait le satyre ;
On connaissait Stulcas, faune de Pallantyre,
Gès, qui le soir riait, sur le Ménale assis,
Bos, l'aegipan de Crète ; on entendait Chrysis,
Sylvain du Ptyx que l'homme appelle Janicule,
Qui jouait de la flûte au fond du crépuscule ;
Anthrops, faune du Pinde, était cité partout ;
Celui-ci, nulle part ; les uns le disaient loup,
D'autres le disaient dieu, prétendant s'y connaître ;
Mais, en tout cas, qu'il fût tout ce qu'il pouvait être,
C'était un garnement de dieu fort mal famé.

 Satyre Blog1

Satyre Blog2

 

Tout craignait ce sylvain à toute heure allumé ; 
La bacchante elle-même en tremblait ; les napées
S'allaient blottir aux trous des roches escarpées ;
Écho barricadait son antre trop peu sûr ;
Pour ce songeur velu, fait de fange et d'azur,
L'andryade en sa grotte était dans une alcôve ;
De la forêt profonde il était l'amant fauve ;
Sournois, pour se jeter sur elle, il profitait
Du moment où la nymphe, à l'heure où tout se tait,
Éclatante, apparaît dans le miroir des sources ;
Il arrêtait Lycère et Chloé dans leurs courses ;

 

 

Satyre Blog4

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Satyre Blog3


Il guettait, dans les lacs qu'ombrage le bouleau,
La naïde qu'on voit radieuse sous l'eau
Comme une étoile ayant la forme d'une femme ;
Son oeil lascif errait la nuit comme une flamme ;
Il pillait les appâts splendides de l'été ;
Il adorait la fleur, cette naïveté ;
Il couvait d'une tendre et vaste convoitise
Le muguet, le troëne embaumé, le cytise,
Et ne s'endormait pas même avec le pavot ;
Ce libertin était à la rose dévot ;

 

Satyre Blog5

 


Il était fort infâme au mois de mai ; cet être
Traitait, regardant tout comme par la fenêtre,
Flore de mijaurée et Zéphir de marmot ;
Si l'eau murmurait : J'aime ! il la prenait au mot,
Et saisissait l'Ondée en fuite sous les herbes ;
Ivre de leurs parfums, vautré parmi leurs gerbes,
Il faisait une telle orgie avec les lys,
Les myrtes, les sorbiers de ses baisers pâlis,
Et de telles amours, que, témoin du désordre,
Le chardon, ce jaloux, s'efforçait de le mordre ;
Il s'était si crûment dans les excès plongé
Qu'il était dénoncé par la caille et le geai ;
Son bras, toujours tendu vers quelque blonde tresse,
Traversait l'ombre ; après les mois de sécheresse,
Les rivières, qui n'ont qu'un voile de vapeur,
Allant remplir leur urne à la pluie, avaient peur
De rencontrer sa face effrontée et cornue ;
Un jour, se croyant seule et s'étant mise nue
Pour se baigner au flot d'un ruisseau clair, Psyché
L'aperçut tout à coup dans les feuilles caché,
Et s'enfuit, et s'alla plaindre dans l'empyrée ;
Il avait l'innocence impudique de Rhée ;
Son caprice, à la fois divin et bestial,
Montait jusqu'au rocher sacré de l'idéal,
Car partout où l'oiseau vole, la chèvre y grimpe ;
Ce faune débraillait la forêt de l'Olympe ;
Et, de plus, il était voleur, l'aventurier.

Satyre Blog6


Hercule l'alla prendre au fond de son terrier,
Et l'amena devant Jupiter par l'oreille.

Victor Hugo

3 août 2013

"Que vos barbes ne se fassent jamais rares !" Tolkien

Nain Blog

 

"Ils sont trapus et font 4 pieds de haut. Ils sont très larges de torse, avec un lourd fessier et des jambes courtes et épaisses."   JRR Tolkien

nain blog 2

"Tous les nains ont une parfaite connaissance des gemmes et des métaux qu'ils extraient depuis les profondeurs de la terre."  Snorri Sturluson (auteur de l'Edda)

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